à la une
– 37 % des adultes vivant en bidonville ont eu un contrat de travail (contre 4 % en 2016)
l’emploi des femmes continue de progresser
– Depuis 2016, AREA a accompagné 193 personnes (56 ménages) à quitter un bidonville pour un logement
Cette recherche-action est le fruit d’un travail menée par AREA en partenariat avec le LEIRIS (Laboratoire d’Études Interdisciplinaires sur le…
L’approche sociologique de l’association, son lien avec les personnes accompagnées et l’école fait écho à mes intérêts de recherche et…
Depuis 2023, le FSE+ co-finance notre projet de médiation scolaire. Soit le recrutement d’une médiatrice scolaire en plus du poste déjà présent, et du travail social afin de soutenir les parents.
Courant 2021, quatre bidonvilles ont été expulsés, manifestant le changement de politique de l’État dans le département. De plus deux autres sites évacués et leurs habitant.es ont été hébergé.es dans un dispositif intercalaire. Soit l’évacuation de six bidonvilles sur les douze répertoriés à Montpellier fin 2020.
Dans le cadre de notre projet « Espace intervalle » nous proposons à un groupe d’une douzaine d’enfants du soutien scolaire le mercredi après-midi. L’objectif de ce temps est de soutenir l’envie d’apprendre
J’ai décidé de réaliser ce service civique dans l’association AREA pour plusieurs raisons. Celui-ci me permettrait de découvrir un monde et une ville encore inconnus pour moi mais également de pouvoir me laisser plus de temps pour choisir ma voie tout en découvrant réellement le monde du travail et de faire ce qui me plaît sur le moment (aider des personnes en difficulté et l’animation auprès d’enfants).
Depuis plusieurs semaines, les habitant.es des différents bidonvilles de Montpellier vivent un véritable cauchemar.
Un reportage de Julie Chansel pour le Journal La Marseillaise sur notre projet d’amélioration des conditions de vie dans le bidonville de Zénith 2.
Nous accueillons en stage pour trois semaines Blandine, en première année à l’IUT carrières sociales et option gestion urbaine. Elle a accepté de partager son journal de terrain et ses impressions.
Nous recevons en stage pour trois semaines Blandine, en première année à l’IUT carrières sociales et option gestion urbaine. Elle a accepté de partager son journal de terrain et ses impressions.
Dans le cadre de ce projet de réflexion sur la résorption des bidonvilles, AREA et La Cimade ont choisi de travailler sur la question de la participation des habitant·es en travaillant avec le Master II Intermédiation et Développement Social – Projet, Innovation, Démocratie, Territoire de l’université Paul Valéry.
Le travail collectif effectué avec les habitant.es pour travailler sur les conditions de vie est aussi un appui pour permettre des parcours vers l’insertion individuelle.
Métropolitain. Article de Cédric Nithard. La Ville de Montpellier veut travailler avec les associations, qui oeuvrent au contact des habitants des bidonvilles et des squats.
L’annonce vendredi d’une solution commune entre la Ville et le collectif Luttopia pour le squat des Archives semble ouvrir une nouvelle voie à Montpellier dans la gestion des squats et des bidonvilles. Ce qui a été confirmé au conseil municipal lundi.
Pour la deuxième année consécutive, AREA est invitée à donner un cours en Master 2 de sociologie à l’Université Paul Valéry.
Pendant la crise sanitaire due au Covid 19, les associations ont mis en place une coordination pour répondre aux besoins essentiels des Montpelliérain.es les plus précaires
Le Préfet de l’Hérault décide de mettre 200 personnes à la rue Télécharger le CP expulsion Bouisson Bertrand 2020.08.31 Ce…
Les associations membres du collectif Alerte de l’Hérault tirent la sonnette d’alarme : aujourd’hui à Montpellier, plus de 2 500 personnes vivent sans résidence stable. Ces personnes s’organisent comme elles peuvent : environ 800 vivent en bidonville, 1000 squattent des bâtiments inoccupés. Les autres sont à la rue ou hébergées chez les copains pour un temps. Et ça, ce n’est que Montpellier ! On rencontre les mêmes problématiques à Sète, Frontignan, Lunel ou Béziers.
A partir des réflexions que partagent avec l’équipe d’ AREA les habitant·es des bidonvilles, et de ce que nous avons pu constater, nous avons cherché à analyser les raisons de ces difficultés vis-à-vis de l’école. Matérielles, psycho-sociales, sociologiques ou encore économiques, elles cristallisent l’ensemble des problématiques rencontrées par les familles vivant sur les bidonvilles et s’avèrent donc complexes à appréhender tant le champ des interactions est large.
Nous avons organisé la semaine dernière une coordination inter-associative avec le Secours Populaire, le Secours Catholique, la ligue des droits de l’Homme, la coordination Luttopia, la Cimade, Médecins du monde, Deux Choses Lune et AREA.
Après 4 ans d’accompagnement social auprès des habitant·es des bidonvilles, l’équipe d’AREA a eu en 2019 le sentiment d’arriver à un tournant dans le travail social.