Dans le cadre de ce projet de réflexion sur la résorption des bidonvilles, AREA et La Cimade ont choisi de travailler sur la question de la participation des habitant·es en travaillant avec le Master II Intermédiation et Développement Social – Projet, Innovation, Démocratie, Territoire de l’université Paul Valéry.

Le travail collectif effectué avec les habitant.es pour travailler sur les conditions de vie est aussi un appui pour permettre des parcours vers l’insertion individuelle.

Métropolitain. Article de Cédric Nithard. La Ville de Montpellier veut travailler avec les associations, qui oeuvrent au contact des habitants des bidonvilles et des squats.
L’annonce vendredi d’une solution commune entre la Ville et le collectif Luttopia pour le squat des Archives semble ouvrir une nouvelle voie à Montpellier dans la gestion des squats et des bidonvilles. Ce qui a été confirmé au conseil municipal lundi.
Pour la deuxième année consécutive, AREA est invitée à donner un cours en Master 2 de sociologie à l’Université Paul Valéry.

Pendant la crise sanitaire due au Covid 19, les associations ont mis en place une coordination pour répondre aux besoins essentiels des Montpelliérain.es les plus précaires
Le Préfet de l’Hérault décide de mettre 200 personnes à la rue Télécharger le CP expulsion Bouisson Bertrand 2020.08.31 Ce…

Les associations membres du collectif Alerte de l’Hérault tirent la sonnette d’alarme : aujourd’hui à Montpellier, plus de 2 500 personnes vivent sans résidence stable. Ces personnes s’organisent comme elles peuvent : environ 800 vivent en bidonville, 1000 squattent des bâtiments inoccupés. Les autres sont à la rue ou hébergées chez les copains pour un temps. Et ça, ce n’est que Montpellier ! On rencontre les mêmes problématiques à Sète, Frontignan, Lunel ou Béziers.

A partir des réflexions que partagent avec l’équipe d’ AREA les habitant·es des bidonvilles, et de ce que nous avons pu constater, nous avons cherché à analyser les raisons de ces difficultés vis-à-vis de l’école. Matérielles, psycho-sociales, sociologiques ou encore économiques, elles cristallisent l’ensemble des problématiques rencontrées par les familles vivant sur les bidonvilles et s’avèrent donc complexes à appréhender tant le champ des interactions est large.